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Un jour je m'ennuyais, et depuis, je suis là.

8 juillet 2014

Oh God, what have I done?

Eh bien voilà, la sentence est tombée (depuis deux semaines déjà, à vrai dire): je suis une hypokhâgneuse en herbe.

Et tout ce qui me vient à l'esprit, là, maintenant, c'est: qu'ai-je fait? Mais qu'ai-je fait, mon dieu?

Qu'est-ce qui m'a pris? Pourquoi? Pourquoi? Comment ai-je pu réussir à me convaincre que j'avais envie d'aller en prépa? Mais non voyons, je n'ai pas envie, je n'ai jamais eu envie. C'est une solution par défaut, par dépit, parce que je n'ai rien trouvé de mieux. A bien y réfléchir, je ne sais même pas ce que je cherche. Dans l'absolu, une école avec des matières que j'aime (histoire des arts, lettres, langues, philosophie, pourquoi pas SVT), qui délivre une formation précise, dans laquelle je passerais des années vivables et où je partirais en erasmus. D'accord, mais ça, ça n'existe pas. De plus, une formation précise, qu'est-ce que ça veut dire, au juste? Quelque chose qui donne accès à un métier? Mais quel métier? Je me rêve conservatrice du patrimoine depuis que j'ai découvert cette profession. En fait, j'aurais voulu une école formatrice de conservateurs. Une sorte d'INP post-bac. Mais ça, ça n'existe pas. Et finalement, ce qui se rapproche le plus de ce que je cherche, c'est la prépa.

Alors pourquoi non? Mais parce que, très cher, je suis une grosse feignasse qui frémis à l'idée de me voir dépassée par les autres et de passer ma vie à travailler. Je suis une énorme trouillarde qui gémis à la simple évocation de l'éloignement du domaine familial et du lycée que j'ai tant chéri. Je suis une sentimentale exacerbée qui me liquéfie en voyant s'éloigner les gens que j'aime et en sachant pertinamment que je vais les perdre bientôt. Si encore j'étais partie dans la même ville qu'eux, au moins me serais-je sentie moins abandonnée, au moins n'aurais-je pas eu le sentiment de me détourner de ceux qui me sont chers. Mais là... Je sens juste arriver la souffrance de la séparation et la déprime des froids mois d'hiver.

 

Sur cette note joyeuse, je vais aller voir si je ne trouve pas quelques livres d'occasion sur internet parmi ceux qui composent la longue liste à lire pendant les vacances. Voilà un point positif: cette liste ne m'effraie pas du tout, elle m'intrigue et m'allècherait presque!

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22 juin 2014

Bac S 2014: il fallait bien que j'en parle !

Je comptais résumer mes épreuves avec quelques uns de mes chers gifs, mais au vu du scandale qu'elles ont entraîné dans tout le pays et du désespoir dans lequel elles m'ont plongée, je me dois de partager mon avis de manière plus explicite.

Je fais partie des milliers de révoltés qui ont passé l'épreuve de mathématiques le jeudi 19 juin. J'en suis évidemment sortie déconfite et les nombreuses réactions sur les réseaux sociaux m'ont rassurée : non, cette démonstration par récurrence n'était absolument pas exigible, oui,ce tétraèdre était parfaitement diabolique. Quant au premier exercice mêlant suites, intégrales et autres réjouissances d'une manière assez inhabituelle, s'il était moins difficile que les deux derniers, il était tout de même d'un certain niveau. Donc, dès que je suis rentrée chez moi, je me suis donc empressée de taper sur Google "avis bac S 2014", "réactions bac maths", etc. Et je fus grandement soulagée de voir que les Palois n'ont pas été les seuls à s'insurger devant la difficulté de ce sujet. Par la suite, on a créé la fameuse pétition et le groupe facebook qui rassemblent des milliers de lycéens et qui ont fait la une des médias. Et j'ai pu constater que, sur Twitter, de nombreux vétérans du baccalauréat ont partagé des phrases comme : "Les lycéens se plaignent d'avoir eu un tétraède au #Bac2014 ? On voit pas ça au collège les formes géométrique ?", ou encore "Apparemment, en filière S, la supposée élite scientifique française ne sait pas ce qu'est un tétraèdre régulier rectangle en A. #bacmaths".

Je tiens donc à vous rassurer, chères générations qui nous précèdent et visiblement nous méprisent: oui, je sais ce qu'est un tétraèdre, d'ailleurs, j'ai eu l'occasion de faire des exercices avec cette figure cette année. J'étais assez à l'aise en géométrie dans l'espace et je pensais pouvoir m'en tirer si on me demandait une équation cartésienne d'un plan. J'avais révisé toute l'année, je ne suis pas arrivée à l'examen les mains dans les poches en me disant "le bac, cette blague, de toute façon tout le monde l'a".

Alors que nous sommes des milliers à trouver ce sujet difficile, tout ce que l'on trouve à nous répondre, c'est que nous sommes une génération de fénéants qui ne connaissons que la facilité et qui avons perdu la notion de ce qu'est véritablement un examen. Un examen de fin d'année, n'est ce donc pas le reflet de notre travail annuel? N'est-ce donc pas un sujet qui est supposé être en accord avec ce que l'on nous a enseigné toute l'année et ce à quoi nous nous sommes exercés? A ceux qui nous répondent que l'on ne sait plus réfléchir, imaginez donc vous retrouver face à un type de sujet que vous n'avez jamais abordé auparavant. Si je ne suis pas "capable de réfléchir", n'est-ce pas parce qu'on ne me l'a pas inculqué correctement? A ceux qui se plaignent de notre niveau déplorable, je ne pense pas que nous proposer un baccalauréat d'une difficulté inaccessible va remédier à la chose. Si l'éducation nationale souhaite que nous puissions décemment plancher sur un sujet pareil, qu'elle modifie les objectifs de son programme, qu'elle réédite les livres scolaires, qui actuellement nous proposent des exercices type bac conformes à ceux que nous avons l'habitude de faire.

Ceux qui pensent que les lycéens d'aujourd'hui ne sont qu'une "génération d'assistés" prêts à se révolter à la moindre occasion devraient donc d'abord comparer le programme annuel de mathématiques, les contrôles mensuels, à cet examen "tout à fait conforme". Je ne veux pas être assimilée à un "nique sa mère Victor Hugo" ou autre : je veux simplement qu'on prenne en compte mon indignation. Le véritable problème n'est pas selon moi un manque de travail ou d'implication. Le véritable problème, c'est que l'éducation nationale n'est pas capable de proposer deux années de suite des sujets comparables, et tout ce qu'elle trouve à redire à nos revendications, c'est que les gens se plaignent quand le bac est donné mais qu'on ne supporte pas la difficulté non plus. Le problème est dans ces mots de "difficulté" et "facilité": il est déplorable qu'on ne puisse pas composer chaque année un sujet équilibré, accessible, mais portant à réflexion. On ne demande pas un copier-coller ridicule des exercices les plus simples de notre livre: on exige seulement une cohérence entre le travail fourni et l'examen final. Ce qui ne me semble pas si insurmontable.

5 avril 2014

The Bac Blanc Challenge

"Hein? Le bac blanc...? Ah ouais, mais c'est dans longtemps ça... Oh c'est bon de toute façon  ça va revenir vite... " Ah, ah, quelle âme innocente je fais! Bref, le bac blanc est bel et bien arrivé cette semaine avec sa ribambelle de réjouissances. Petit résumé de cette éprouvante semaine:

 

Lundi : Anglais

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Mardi matin: Philo

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Mardi après-midi : espagnol

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Mercredi : physique

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Jeudi matin : Maths

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Jeudi après-midi : SVT

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Jeudi soir

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Et voilà! Ce soir, I'm gonna party hard pour fêter ça, et jeter au feu mon cours sur les intégrales et mon exposé sur Kant (quand je relirai ces lignes l'an prochain, je suis sûre que je rirai amèrement en voyant que je me plaignais d'avoir trop de travail en terminale)! 

2 février 2014

Portes ouvertes: round 2.

C'est sans grand enthousiasme que je suis difficilement sortie de mon lit hier matin à sept heures (un samedi, donc) pour faire deux heures de route jusqu'à la seconde-grande-ville-la-plus-proche et ainsi découvrir une seconde prépa avec un profil assez différent de celle de samedi dernier: petite, familiale, artistique, et surtout beaucoup moins prétentieuse. Encore une fois, rencontre avec élèves et professeurs puis conférence. J'ai largement préféré ce lycée: les étudiants étaient "normaux", les locaux plus agréables, plus chaleureux, l'ambiance plus intime.

Je n'ai rien appris de plus que ce que je savais déjà: travail, passion, organisation, fatigue, camaraderie, (déprime) semblent être les maîtres mots de ce monde à part qu'est l'hypokhâgne. Je crois deviner que l'enthousiasme déborde de mes mots: je répondrai donc à cette question fondamentale: si tu n'en as pas envie, pourquoi aller en prépa?

Parce que se sont des matières que j'aime, je suppose. Parce que ça me permettra de réfléchir, de découvrir, d'apprendre. Et puis au pire, si c'est vraiment insupportable, je peux très bien abandonner (et je le vivrai comme un échec terrible). Je crois que là est le problème: la peur de l'échec. La peur de se retrouver en queue de peloton dans des matières que j'ai toujours aimées et dans lesquelles on m'a toujours encouragée. La peur de ne pas être assez bonne, de galérer pour rien, de perdre toute confiance en moi.

Quand j'épluche les nombreux blogs hypokhâgneux qu'on trouve sur la toile, je ne vois que des gens motivés, épuisés mais heureux, qui sortent de bac L avec d'étincelantes mentions très bien, et au lieu de m'encourager, ça me terrifie... Je sais, c'est mal. Suis-je la seule à mourir de peur alors que je ne suis même pas inscrite sur APB?

26 janvier 2014

Portes ouvertes: round 1.

En ce week-end froid et pluvieux, je me suis aventurée dans la grande ville la plus proche pour faire les portes ouvertes d'une prépa plutôt renommée. Direction le bâtiment Khâgne-Hypokhâgne pour assister à des présentations et rencontrer élèves et professeurs.

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   "Ces gens sont vraiment bizarres" fut ma première pensée. En fait, j'avais déjà ressenti cette impression quand j'avais fait ma 'journée d'immersion' dans la petite prépa à côté de chez moi (que j'exclus de mes voeux puisqu'elle ne propose pas Hida en option). Je ne parle pas des élèves de terminale présents ou des professeurs, mais bien des étudiants qui semblent vraiment appartenir à un autre monde. Je ne sais pas si c'est les six mois de prépa derrière eux qui leur ont donné ce niveau de langage ou s'ils étaient comme ça avant. Dans ce dernier cas, j'ai du souci à me faire pour les entraînements oraux avec mes phrases ponctuées de "et tout", "hyper", "en mode", et j'en passe. Mais je parle déjà comme si j'étais décidée/admise/motivée! hahaha. Revenons-en aux prépateux: outre leur manière de parler qui m'a donné l'impression d'avoir quinze ans de moins qu'eux, je trouve qu'ils portent sur eux ce qu'ils font. Mais après tout, les étudiants en droit, en commerce ou en art ou je ne sais quoi aussi! (Coucou les clichés!)

    Bref, j'ai pu discuter tout d'abord avec deux hypokhâgneux qui m'ont donné deux points de vue pas totalement identiques. Le premier comptait quitter la prépa à la fin de l'année mais il était très content de tout ce qu'il avait appris: il trouvait les profs passionnants et les études géniales, mais il m'a assuré que de toute façon, on ne pouvait pas tout faire, qu'il fallait choisir plus ou moins ses matières. Ce à quoi la seconde a répondu que non, absolument pas, on pouvait tout faire, à condition de s'organiser à plusieurs et de bien sûr travailler beaucoup. Cette fille voulait intégrer l'EDL et avait commencé l'Hida cette année, elle était passionnée par ce qu'elle faisait. D'ailleurs, je cite : "j'ai choisi cette voie par passion, par pour le salaire". J'ai dégluti difficilement en m'imaginant une fois encore errer chez Pôle Emploi, traînant derrière moi dix ans d'études et autant de diplômes grandiloquents.

   Ensuite, j'ai vu la professeur d'Hida, qui avait l'air vraiment bien (tous les élèves lui envoyaient des fleurs). Elles nous a parlé de ses cours, de l'école des Chartes et de l'EDL, la première étant beaucoup plus côtée que la seconde (et recrutant beaucoup moins forcément). Puis présentation générale des matières abordées par les professeurs et les élèves: en gros, tout ce que je savais déjà: une filière d'excellence, un niveau unique, une ambiance de travail exceptionnelle, une camaraderie géniale, des profs très investis, etc. Bref, une année, voire deux, voire trois, très bénéfique(s). Mais pour y accéder, il faut faire partie des 90 dossiers retenus sur 700/800 candidatures : et sur ces 90 élèves, la moitié seulement irons en khâgne!

  Juste avant de partir, j'ai discuté avec une fille en Hida qui voulait elle aussi aller à l'EDL mais plutôt après une année de khâgne. Elle m'a parlé des expos, des projets que faisaient les élèves en partenariat avec des musées ou des galeries, et du travail 'surtout de dissert' à fournir dans cette option, 'mais c'est vraiment un plaisir de les faire".

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Bref résumé de mes impressions toutes fraîches:

1. Ca a l'air super intéressant quand même.

2. Je me demande si je suis vraiment faite pour ça.

3. Je me demande si je ne vais pas tomber en dépression au bout du premier trimestre.

4. Je me demande si mon ego surdimensionné supporterait d'être entouré de génies.

5. Je ne serai jamais assez douée pour aller là dedans.

Bon, bon, bon... Je vous retrouve pour le prochain résumé des portes ouvertes d'une nouvelle prépa, moins réputée mais plus familiale. See you soon !

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2 janvier 2014

Quand je regarde les corrigés des annales du test probatoire de l'école du Louvre

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30 décembre 2013

Voilà déjà deux mois que je tente de me frayer un

Voilà déjà deux mois que je tente de me frayer un chemin dans la jungle de l'orientation. Au début de l'année, trois alternatives se dégageaient clairement dans ma tête :

 

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Bref, depuis, mes ambitions ont légèrement changé. Déjà, archi, on oublie. A bien y réfléchir, l'esprit de création, l'aménagement des espaces publics, tout ça, je ne sais pas si c'est pour moi. Dans ma petite tête, en étant architecte, j'allais imaginer de magnifiques maisons individuelles originales et hors de prix, et d'après les gens qui m'ont renseignée, ce n'est pas vraiment ça.

L'école du Louvre, ah, l'EDL! Rien que d'y penser, je m'y vois déjà. J'ai eu la chance de "monter à Paris" (princesse) avec des amies Hida-philes pour faire les portes ouvertes. En un mot: génial. Je m'étais pourtant préparée mentalement à ne pas céder à la magie des lieux, aux discours de rêve du directeur et des professeurs (qui ne sont d'ailleurs pas profs mais souvent conservateur- génial bis), etc. Peine perdue: j'ai tenu jusqu'à la conférence sur le test probatoire. Ensuite, on est allées voir des élèves qui nous ont pas mal renseignées et là, j'étais sous le charme. Des cours super intéressants et complets, un pass pour tous les musées/expos sur Paris et ailleurs, des Travaux dirigés sur Oeuvre dans le Louvre, des contacts à établir avec les conservateurs, des opportunités de boulot uniques, la possibilité de faire un double-cursus avec la Sorbonne (entre autres), une renommée internationale, et pour couronner le tout, des élèves tellement cools (parole d'ado immature que je suis, désolééée)... Bref, je rentre à la maison super enthousiaste évidemment, et là, c'est le drame. Mes parents ne sont pas du tout, mais du tout emballés, évidemment. Petit florilège des arguments anti EDL les plus fréquents et de mes réponses:

 

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Bon, en gros, je dois dire que je suis d'accord avec mes parents et que chaque argument et très raisonnable, mais les miens le sont aussi, non?

Alors, l'Hypokhâgne... Comment dire. Au début de l'année, rien qu'à évoquer la prépa, j'aurais ri. Mais pourquoi pas? La prépa c'est: une solide culture G + des matières que j'aime + l'occasion de s'ouvrir à d'autres possibilités + étudier plus près de chez moi + un environnement familier+ une option histoire des arts qui je crois me permettrait de valider une licence à la fac + la possibilité d'aller à l'EDL un peu plus tard. Que du positif, n'est-ce pas? Et puis ce n'est qu'une question de temps pour intégrer l'EDL, en étant positif. Alors pourquoi se précipiter à Paris? Parce que c'est ce que je préfère, tiens. C'est peut-être une solution de facilité aussi... Mais l'EDL, facile? Je crois que non, quand même! Une solution toute simple: passer le concours de l'EDL, et si je ne l'obtiens pas, ce qui est quand même l'alternative la plus probable, aller en prépa, si mon dossier est retenu bien sûr. Et voilà.

Braaaaaaaaah, je sais pas, moi! Et si je passais à côté de quelque chose de ouf en prépa (outre une dépression)? Mon coeur me porte vers l'EDL mais ma raison vers l'Hypokhâgne (violons). Dilemme, donc.

Si quelqu'un a vécu cette situation, je suis toute ouïe.

29 décembre 2013

Let's begin!

Ah, douces vacances de Noël tant attendues! "Vos dernières véritables vacances, alors profitez-en bien", dixit mes professeurs qui ne manquent jamais de rappeler l'heureuse perspective des révisions du bac (blanc). Seulement voilà, moi qui trépignais d'impatience à l'idée d'être enfin libérée quelques jours des cosinus, des acido-bases et d'autres réjouissances, me voilà échouée sur Facebook pendant des heures, écrasée d'ennui et d'excès d'inactivité.

C'est en errant sans but sur le net que je suis tombée sur des blogs, essentiellement des témoignages effrayants sur de douloureuses expériences hypokhâgneuses. Mon cerveau amorphe s'est alors illuminé: la voilà, mon occupation des vacances! Un blog! Ni une, ni deux, me voilà arrivée ici, bouillonnante d'idées en tout genre.

Alors, avant de me lancer, une présentation s'impose, bien sûr! Je m'appelle Alix, j'ai 17 ans, je suis en terminale, et j'ouvre ce blog pour les principales raisons que: j'aime écrire, j'aime raconter ma vie, j'aime essayer de faire de jolies mises en page et, of course, j'ai besoin d'une nouvelle occupation. Je vous laisse découvrir le reste dans les articles à venir (si articles il y a, car j'ai une fâcheuse tendance à abandonner en cours de route à peu près tout ce que je commence, hahaha).

 

 

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Un jour je m'ennuyais, et depuis, je suis là.
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